Le véritable CERDON AOC - Méthode Ancestrale

Il s’agit d’un cru qui a déjà conquis de nombreux palais par son fruité caractéristique,
son pétillant si agréable pour les papilles, sa couleur qui égaie les plus belles tables…

Ce vin est obtenu par fermentation naturelle en BOUTEILLE, ce qui exige un énorme travail et un savoir faire hérité des Anciens. Il trouve sa plénitude en étant consommé frais. Traditionnellement, on le voyait apparaître à la fin des bons repas pour le plus grand plaisir des convives, ou encore pour régaler les hôtes de l’après-midi.

Aujourd’hui, de plus en plus nombreux sont ceux qui l’apprécient à l’apéritif.
Certains inconditionnels, quant à eux ne s’en séparent plus de tout le repas.
Et les dames ? Peu d’entre elles résistent à son charme. Même celles qui disent détester les alcools succombent en présence de ce séducteur.

Alors vous aussi, laissez-vous tenter, essayez-le, il sera votre meilleur allié, en toutes circonstances.

Nous vous invitons à découvrir la richesse de ces vins sur le site Internet du Syndicat des Vins du Bugey

« Dans la grande bâtisse aux caves d’antan, construite à même le flan de la montagne, vous découvrirez le souffle du Passé et de l’Histoire.
Ces caves en pierre de taille du BUGEY ont résisté aux assauts des grenades incendiaires qui ont dévasté le village de CERDON le 12 juillet 1944.
C’est sur ces mêmes pierres qu’a été reconstruite la grande demeure vigneronne dont les renforts et les pierres rougies par les flammes témoignent toujours du passé douloureux.

Une exposition permanente des lithographies dont l’auteur est la fille du maire de CERDON : Emile ROUGEMONT, fusillé par les Allemands en représailles des actions menées par les maquisards, représente le village avant sa destruction.

Dans la Grande Cave voûtée, symbole de la vie, Andrée PIPERINI vous initiera à l’art de la dégustation du fameux CERDON, à la mousse fine et légère. 
Elle vous dévoilera tous les secrets pour reconnaître un authentique CERDON. »

Le sort des homosexuels (triangle rose) dans les camps de concentration est mal connu, celui des lesbiennes (triangle noir dans la catégorie asocial) l’est encore moins. Leurs conditions de vie sont souvent celles des détenus au plus bas de l’échelle concentrationnaire. Ils sont par ailleurs des cobayes de choix pour les nazis dans leurs expériences « scientifiques » sur l’étude du paludisme, du typhus, ou encore de stérilisation féminine et castration masculine.